Point sur la situation actuelle
Dans un contexte d’inquiétude porté par l’inflation (dont les causes principales reposent sur la hausse de l’énergie et les difficultés d’approvisionnement), nous constatons que les solutions de placement proposées jusqu’alors n’ont plus la capacité de satisfaire les investisseurs.
En effet, si le taux d’inflation n’avait encore que rarement dépassé les 2% par an depuis le passage à l’euro, il était annoncé à plus de 5% en juin dernier.
En définitive, certains épargnants seront contraints à de nouvelles décisions, sans lesquelles ils risqueraient de s’exposer à un appauvrissement.
Par conséquent, vers quels types de placements faut-il se tourner en 2022 ?
Où faut-il éviter de placer son argent ?
A l’instar de tous les livrets réglementés, le rendement du Livret A (2% /an en août) ne permet pas de faire face aux problématiques évoquées plus haut.
Bien que représentant une part importante de l’épargne des Français, ses bénéfices désormais inexistants amènent à un constat amer de perte d’argent.
Dans une moindre mesure, les fonds euros des contrats d’Assurance-Vie rencontrent également des problèmes de rentabilité. Ceci reste toutefois à modérer du fait d’une grande disparité en leur sein même (certains étant plus rentables que d’autres) et de leur avantage, quasi-unique sur le marché de l’épargne, à proposer des versements non plafonnés.
Vers quelles alternatives se tourner ?
La situation est particulière mais ne reste pas sans issue.
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Les Obligations
Couplées à d’autres évolutions (hausse des taux d’intérêts des banques centrales, par exemple), les obligations vont certainement redevenir attractives.
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L’Immobilier
Investir en immobilier est un moyen de contourner l’instabilité des marchés financiers en période d’inflation. Placer son argent sur ce marché peut être fait directement par l’achat d’immobilier locatif ou indirectement en faisait l’acquisition de part de SCPI (sociétés civiles de placement immobilier) ou SCI (sociétés civiles immobilières).
Leur rendement avoisine voire dépasse les 4% nets par an, auquel s’ajoute l’avantage d’un investissement dans de larges domaines (bureaux, immobilier médical, hôtels, …) et un large champ géographique.
Conclusion : Nos conseils
Afin d’aiguiller chaque investisseur vers une solution qui lui soit propre et adaptée, il est nécessaire d’aborder en détails les avantages et inconvénients de tous les horizons qui lui sont proposés.
Parce qu’il est important de tenir compte de la situation civile, économique et fiscale de l’épargnant, mais aussi de son tempérament, le Cabinet MYKA se tient à votre disposition pour vous accompagner dans vos réflexions et choix futurs.
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